Les grondements se rapprochèrent, les tremblements s’accentuèrent, les déséquilibrèrent, les obligèrent à modifier leurs appuis. La terre se soulevait, se tordait comme la surface en furie de la rivière Abondance au plus fort de l’amaya de glace. Ezlinn jugula la panique galopante d’Orchéron d’une pression appuyée sur ses doigts.
Alors, à quelques pas d’eux, comme un immense buisson aux branches furieuses, les furves jaillirent des entrailles du sol.
CHAPITRE XIV
LABYRINTHE