Читаем Grammaire de Lidepla полностью

Ela fogeti-te klefi dwar. — Elle a oublié de fermer la porte à clef.

Stopi shwo! — Cessez de parler!

•   Dans le cas où l'infinitif tient le rôle d'un substantif, on emploie la même préposition qu'on emploierait devant ce substantif, quoique cette préposition peut différer de son équivalent en français:

kitaba fo lekti — un livre à lire (= kitaba fo lekting = "un livre pour la lecture")

mogsa de lopi longtaim — la capacité de courir pendant longtemps (= mogsa de longtaim-ney loping)

Lu es tro fatigi-ney fo go. — Il est trop fatigué pour aller. (= Lu es tro fatigi-ney fo going.)

Lu es fatigi-ney por go. — Il est fatigué de marcher. (= Lu es fatigi-ney por going. = "Il est fatigué à cause de la marche".)

Ob yu es tayar fo go? — Etes-vous prêt à aller? (= Ob yu es tayar fo going? = "Êtes-vous prêt pour l’aller?")

Es taim fo samaji to. — Il est temps de comprendre cela. (= Es taim fo samaja. = "Il est temps pour la compréhension".)

Sembli ke problema fo diskusi yok. — Il semble qu’il n y a aucun problème à discuter. (= Sembli ke problema fo diskusa yok. = "Il semble qu’il n’y a pas de problème pour la discussion".)

Ela go-te a basar fo kupi yabla. — Elle est allé au marché pour acheter des pommes.

Ela afsosi por kupi grin yabla. — Elle est désolée d'avoir ("à cause d’avoir") acheté les pommes vertes.

Me joi al vidi yu. — Je suis heureux de vous voir ("en train de vous voir").

Me he lai por vidi luma in yur winda. — Je suis venu après avoir ("à cause de") voir la lumière dans vos fenêtres.

•   Dans des prépositions subordonnées après les mots relatifs "ob", "wo", "komo" etc., l’infinitif est utilisé sans "tu":

Ela he findi plasa wo kupi hwan yabla. — Elle a trouvé où acheter les pommes jaunes.

Me bu es serte ob go adar o bu go. — Je ne suis pas sûr d’aller ("est-ce que aller") vers là ou pas.

Lu jan komo zwo to. — Il sait comment le faire.

•   La particule tu peut être utilisé pour marquer un groupe infinitif:

Lu he wadi a me tu bringi un interes-ney jurnal. — Il m’a promis de m’apporter un journal intéressant.

(Mais: Lu he wadi bringi un interes-ney jurnal a me).

Bu es fasile, tu begin rasmi in may yash. — Ce n'est pas facile de commencer à dessiner à mon âge.

Les verbes "ye" (il y a) et "yok" (il n'y a pas)

Le verbe ye signifie "il y a, est présent/disponible":

In shamba ye mucho stula. — Dans la chambre il y a beaucoup des chaises.

Stula dar ye. — Il y a des chaises là.

La signification négative (absence) s’exprime par "bu ye" ou par yok (il n'y a pas, n'est pas présent/disponible). "Yok" se place après l’objet concerné:

Bu ye stula in shamba. — Il n’y a pas de chaises dans la chambre.

Stula in shamba yok. — Il n’y a pas de chaises dans la chambre.

Mani ye-bu-ye? — Y a-t-il de l’argent ou pas?

Mani yok. — Pas d’argent.

Verbe auxiliaire "fai"

Celui-ci a une signification générale: "faire, exécuter une action" et s'emploie en combinaison avec des noms et des adverbes:

fai kwesta — faire/poser une question, questionner

fai kasam — prêter serment

fai fiasko — échouer, ne pas réussir

fai interes om koysa — prendre intérêt à quelque chose

fai swiming — être engagé dans la natation

fai bak! — peut signifier "arrière!" ou "place en arrière!" etc.

fai avan! — peut signifier "en avant!" etc.

A la différence de "zwo" (faire, produire) "fai" est un verbe auxiliaire et peut être employé seulement dans les combinaisons, ainsi "Faites-le!" est "Zwo to!"

Dans la langue parlée la combinaison "fai+substantif" peut remplacer un verbe non mentionné. Dans ce cas "fai" signifie "utiliser un objet de façon habituelle, se conduire ordinairement à propos de cet objet":

fai kitaba — lire un livre

fai kama — dormir ou aller se coucher

fai kaval — chevaucher (ou bien aussi jouer avec un enfant en le portant sur le dos ou aux épaules — "fai kaval-ki")

fai gitara — jouer de la guitare

fai kino — regarder un film ou aller au cinéma

fai (defai) butas — lacer ou délacer des chaussures.

Verbes modaux

Mogpouvoir:

Me bu mog lekti: kitaba yok. — Je ne peux pas lire, il n’y a pas de livre.

Yu mog zwo to kom yu yao. — Vous pouvez faire cela comme vous voulez.

Bu mog — on ne peut pas, ce n'est pas possible.

Bu mog jivi sin chi. — On ne peut pas vivre sans manger.

Darfiêtre autorisé, avoir droit, avoir la permission:

Lu darfi gun kom leker. — Il a le droit de travailler en tant que médecin.

Me darfi zin ku? — Est-ce que je peux entrer?

Bu darfi fumi. — Il n’est pas permis de fumer.

Yaovouloir, désirer:

Kwo yu yao? — Que voulez-vous?

Me yao aiskrem. — Je veux une glace (une crème glacée).

Me wud yao safari kun yu. — Je voudrais voyager avec toi.

Musdevoir, être obligé:

Oli jen mus chi fo jivi. — Toutes les personnes doivent manger afin de vivre.

Manya me mus go a ofis. — Demain je dois aller au bureau.

Trebail faut, il est nécessaire; exiger:

Перейти на страницу:

Похожие книги

Агония и возрождение романтизма
Агония и возрождение романтизма

Романтизм в русской литературе, вопреки тезисам школьной программы, – явление, которое вовсе не исчерпывается художественными опытами начала XIX века. Михаил Вайскопф – израильский славист и автор исследования «Влюбленный демиург», послужившего итоговым стимулом для этой книги, – видит в романтике непреходящую основу русской культуры, ее гибельный и вместе с тем живительный метафизический опыт. Его новая книга охватывает столетний период с конца романтического золотого века в 1840-х до 1940-х годов, когда катастрофы XX века оборвали жизни и литературные судьбы последних русских романтиков в широком диапазоне от Булгакова до Мандельштама. Первая часть работы сфокусирована на анализе литературной ситуации первой половины XIX столетия, вторая посвящена творчеству Афанасия Фета, третья изучает различные модификации романтизма в предсоветские и советские годы, а четвертая предлагает по-новому посмотреть на довоенное творчество Владимира Набокова. Приложением к книге служит «Пропащая грамота» – семь небольших рассказов и стилизаций, написанных автором.

Михаил Яковлевич Вайскопф

Языкознание, иностранные языки