J ’ai été dans des angoisses mortelles. Heureusement que ce n’est qu’une lettre de Mr Ossipoff, comme je l’ai su de la Princesse Barbe elle-même. Je ne sais qui aurait pu prendre plus d’intérêt à ses amis, à des personnes qu’il chéris, comme je le fais. Mon cœur était oppressé d’un poids énorme, et je n’ai repris ma gaîeté qu’après la connaissance de la chose. Je n’ai pas pourtant quitté la ville sans avoir vu le colonel Noroff: je l’ai trouvé écrivant en italien une lettre à sa sœur. J’ai causé avec lui plus de deux heures. Nous nous som-mes arrangés pour aller jeudi chez Md Panaïeff; je ne sais si cela aura lieu.
En arrivant ici, nous avons été tout de suite au carrousel. Le Prince me-nait sur la calèche tantôt la Psse Natalie, tantôt Md Golovine. Il n’y a eu d’abord d’étrangers que Fabre et un autre français nouvellement débarqué, et un Anglais de la société de Mylady Chagot auquel j’ai donné l e sobriquet de
Нет! я не смогу остаться с ней. Я должен сегодня же уехать на дачу. Меня очень беспокоит письмо из Твери, адресованное княжне Варваре и надписанное незнакомой для меня рукой. Я был бы в отчаянии, если бы в нем сообщались дурные новости об Алексее и его милой супруге; они путешествуют, и уже так давно от них нет никаких известий, тем более, что она еще и в положении. Если случится несчастье, прощай, мой бедный Алексей. Я должен буду оплакать двойную потерю людей, которые так дороги мне были в жизни.