1993 — «YSL dans l’orbite de Sanofi» (Les Échos, 19 janvier, Valérie Leboucq). «YSL: une reprise menacée de retouches» (Libération, 25 janvier 1993). «Saint Laurent à tout prix, controverse sur la vente du groupe de luxe à Elf-Sanofi» (Le Monde, François Bosnavaron, Pierre Angel Gay, 27 janvier 1993). «Tribute to Yves» (Vogue Italie, Javier Arroyuello, mars 1993). «L’univers secret de Saint Laurent» (JDD, Michèle Stouvenot, 17 mars 1993). «YSL, the great wide way» (WWD, John Fairchild, 18 mars 1993). «Couture Clash. Saint Laurent sale of a lifetime» (Vanity Fair, Brian Burrough, avril 1993). «Pierre Bergé met les pieds dans le plat» (ParisMatch, Catherine Schwaab, 1er avril 1993). «Saint Laurent embourbé en Champagne: les viticulteurs ont décidé de porter plainte» (Libération, Sylvaine Villeneuve, 9 juin 1993). «Après la transmission du dossier au parquet, les inconnues juridiques de l’affaire Saint Laurent» (Le Monde, Pierre Angel Gay, 22 juin 1993). «La guerre des „champagne“ approche du dénouement» (Le Monde, Pierre-Angel Gay, 30 novembre 1993). «Champagne: qui perd gagne» (Le Nouvel Observateur, 2 décembre 1993). «Saint Laurent privé de „Champagne“ en France» (Le Figaro, 16 décembre 1993). «Le parfum prendra le nom d’ „Yves Saint Laurent“ „Champagne“ sera interdit en France le 30 décembre» (Le Monde, Pierre-Angel Gay, 17 décembre 1993).
1994 — «The Saint» (Vogue anglais, Lesley White, janvier 1994).
«Avis de tempête dans le taffetas» (Libération, Gérard Lefort, 20 janvier 1994). «Sober YSL, naughty Valentino» (International Herald Tribune, Suzy Menkes, 20 janvier 1994). «Pierre Bergé épinglé pour ses discrets bénéfices» (Libération, 31 mai 1994). «Présidentielle: L’indécence de Pierre Bergé» (Le Monde, Guy Carcassonne, 10 juin 1994). «YSL is once again king» (International Herald Tribune, Suzy Menkes, 21 juillet 1994).
«Uptown shoot-out in N. Y store war» (International Herald Tribune, Suzy Menkes, 13 septembre 1994). «Saint Laurent a choisi la liberté» (Le Figaro, Janie Samet, 15 septembre 1994). «YSL sabre le Champagne à New York» (Elle, Sylvie de Chirée, 19 septembre 1994). «Somebody from Paris says he loves New York» (The New York Times, Bernadine Morris, 20 septembre 1994). «The Impresario’s last act» (The New Yorker, Jane Kramer, 21 novembre 1994).
1995 — «La reine Nadja» (Elle, Fabrice Gaignault, 2 janvier 1995). «Le choléra, la peste et la lèpre» (Le Monde, Pierre Bergé, 11 mars 1995). «L’agneau Chirac et son Bergé» (Le Monde, Claude Allègre, 15 mars 1995). «Monsieur le Président» (Out, Edward M. Gomez, avril 1995). «There’s life in couture’s old guard yet» (The New York Times Fashion, Amy M. Spindler, 13 juillet 1995). «Cinq couturiers et leur mère» (Marie-Claire, Laurence Benaïm, novembre 1995).
1996 — «Arcat: double démission annoncée» (Le Figaro, Armelle Héliot, 16 janvier 1996). «Haute couture, l’éclat du crépuscule» (Le Monde, Laurence Benaïm, 22 janvier 1996). «YSL withdrawal is end of an era» (International Herald Tribune, Suzy Menkes, 1996). «Smoking pour tout le monde» (Elle, François Baudot, 27 mai 1996). «Londres, capitale de la mode „politiquement incorrecte“» (Le Monde, Laurence Benaïm, 2 octobre 1996). «Paris, capitale assiégée du prêt-à-porter féminin» (Le Monde, Laurence Benaïm, 8 octobre 1996).
1997 — «Entre ivresse et solitude, Interview» (Focus, Marika Schaertl, 3 février 1997). «Des Américains à Paris» (Le Figaro, Janie Samet, 20 février 1997). «Haute simplicité selon Saint Laurent» (Le Monde, Laurence Benaïm, 17 mars 1997). «Saint Laurent à Londres» (Connaissance des Arts, Philip Jodidio, mai 1997). «Pierre Bergé attaque les musées français» (Le Figaro, Valérie Duponchelle, 20 octobre 1997). «Mon plus grand défaut, c’est moi-même» (Dutch, Laurence Benaïm, hiver 1997).