Yves Saint Laurent. Les derniers jours de Babylone, Luc Castel, Editions du Regard (2013).
Yves Saint Laurent par les plus grands photographes, textes de Marguerite Duras, Schirmer/Mosel (2014).
Loulou de la Falaise, Natasha Fraser et Ariel de Ravenel, Rizzoli NY (2014).
Yves Saint Laurent, Roxanne Lowit, Thames & Hudson (2014).
Femmes berbères du Maroc, Artlys (2014).
Loves Yves Saint Laurent, Patrick Mauriès, La Martinière (2015).
Yves Saint Laurent Vogue On, Natasha Fraser, Vogue / Quadrille (2015).
Yves Saint Laurent, 1971, la collection du scandale, Flammarion (2015).
Yves Saint Laurent, Style is Eternal, catalogue de l’exposition du Bowes Museum (2015). Jacques Doucet — Yves Saint Laurent, Vivre pour l’art, Flammarion (2015).
All About Yves, Catherine Ormen, Larousse (2016).
Yves Saint Laurent, catalogue de l’exposition du Seattle Art Museum, Florence Mûller, Rizzoli (2016).
Yves Saint Laurent, La Folie de l’accessoire, Patrick Mauriès, Phaidon (2017).
Yves Saint Laurent, L’Album, Musée YSL Paris, RMN Grand Palais (2017).
Les Musées Yves Saint Laurent, Paris / Marrakech, collectifs, Assouline (2017).
Studio KO, Karl Fournier, Olivier Marty, Architectes, Rizzoli (2017).
Jacques de Bascher, Dandy de l’ombre, Marie Ottavie, Séguier (2017).
Saint Laurent et moi, une histoire intime, Fabrice Thomas, écrit avec Aline Apostolska, Hugo Document (2017).
Rien de ce qui est humain n’est honteux, Marianne Vic, Fayard (2018).
Тексты Ива Сен-ЛоранаLa Vilaine Lulu. Claude Tchou éditeur, Paris (1967). Réédition La Martinière (2010).
«La fin d’un rêve. Hommage à Maria Callas» (Le Monde, 18 septembre 1977).
Yves Saint Laurent. (In catalogue du «Met», Thames and Hudson, Londres, 1983.
Préfaces: «Madame Schiaparelli», pour le Schiaparelli de Palmer White (Ed. Le Chêne, Paris). Préface pour l’Histoire de la Photographie de Mode, de Nancy Hall Duncan (Ed. Le Chêne, Paris, 1978). Préface pour l’Histoire technique et morale du vêtement, de Maguelone Toussaint Samat (Bordas Culture, Paris, 1990).
Correspondance Yves Mathieu-Saint-Laurent/Michel de Brunhoff. Charles Mathieu-Saint-Laurent/Michel de Brunhoff (février 1954-juin 1955). Parue dans Jardin des Modes (février 1982). Textes rédigés pour les parfums Opium (1977), Kouros (1981), Paris (1983)publiés par la maison Saint Laurent.
La Vilaine Lulu, La Martinière (2010).
Тексты Пьера БержеLes jours s’en vont, je demeure, Gallimard (2003).
L’Art de la préface, Gallimard (2008).
Yves Saint Laurent, une passion marocaine, La Martinière (2010). Histoire de notre collection de tableaux, avec Laure Adler, Actes Sud (2009).
Lettres à Yves, Gallimard (2010).
Un temps pour tout, avec Joëlle Gayot, France Culture (2017).
Избранные статьи и интервью1955 — «Parce qu’il ne voulait pas être notaire, l’Oranais Yves Mathieu-Saint-Laurent sera (peut-être) un grand couturier» (L’Écho d’Oran, Janie Samet, 7 janvier 1955).
1958 — «Le petit roi de la haute couture a passé le bachot de la gloire avec mention très bien» (Paris Presse-l’Intransigeant, Merry Bromberger, 1er février 1958).
«Un timide jeune homme au grand destin» (Arts, Bernard Buffet, 5 février 1958). «La ligne Saint Laurent vue par Bernard Buffet» (L’Express, 6 février 1958). «La France applaudit. L’étranger aussi. Vive la femme trapèze!» (L’Aurore, 31 janvier 1958). «Paris couronne le dauphin de Dior» (Jours de France, 8 février 1958, Jean-François Bergery). «Dior sans Dior. Le rideau se lève» (Paris-Match, Odette Valéri, 1er mars 1958). «Le phénomène Saint Laurent succède au phénomène Christian Dior» (Vogue, mars 1958). «Yves Mathieu-Saint-Laurent dirige à 21 ans la plus grande maison de couture du monde» (Arts, André Parinaud, 9 avril 1958). «De Carpaccio à Ingres, le panorama de la mode d’automne» (Les Lettres françaises, Hélène Cingria, 7 août 1958).