La sonnette tinta. Harry hésita, puis sortit de sa chambre et dévala les marches. Il était trop tôt pour s'attendre à ce que Hestia et Dedalus fassent face au Dursleys tous seuls.
- Harry Potter ! glapi une voix excitée, au moment où Harry avait ouvert la porte ; un petit homme avec un chapeau mauve qui se courba d’une basse révérence. " Un honneur comme toujours ! "
- Merci, Dedalus, dit Harry, accordant un petit sourire embarrassé vers la sombre chevelure d’Hestia. C’est vraiment bien de votre part de faire ça… Ils sont part là, ma tante et oncle et cousin… "
- Bonjour à vous, les parents de Harry Potter ! " dit Dedalus arpentant joyeusement la salle de séjour. Les Dursleys n’avaient pas l’air ravis d’être appelés de cette manière ; Une partie d’Harry avait attendu un autre changement de comportement. Dudley se resserra tout prés de sa mère à la vue de la sorcière et du sorcier.
- Je vois que vous êtes préparés et prêts. Excellent ! Le plan, comme vous l’a dit Harry, est simple, dit Dedalus, sortant une énorme montre de poche hors de son gilet et l'examinant. Nous partirons avant Harry. En raison du danger d'utiliser la magie dans votre maison - Harry n’ayant toujours pas l’âge requis cela pourrait fournir au Ministère une excuse pour l'arrêter - nous conduirons par exemple pendant 20 kilomètres avant de disparaître vers l'endroit sûr que nous avons sélectionné pour toi. Vous savez conduire, je présume ? demanda-t-il poliment à oncle Vernon.
- Savoir quoi ? Evidement que je sais conduire ! cracha oncle Vernon.
- Quelle intelligence, monsieur, quelle intelligence. Je serais personnellement serais tout à fait déboussolé par tous ces boutons et les boutons et manette, dit Dedalus. On avait clairement l’impression qu’il était en train de flatter Vernon Dursley, qui perdait visiblement confiance du plan à chaque mot de Dedalus.
- Ne peut pas même conduire, murmura-t-il dans un souffle, sa moustache ondulant avec indignation, mais heureusement ni Dedalus ni Hestia ne sembla l'entendre.
-Toi, Harry, continua Dedalus, " attends ici sur tes gardes. Il y a eu un changement dans l’organisation …
- Que voulez-vous dire ? dit Harry immédiatement. Je croyais que FolOeil devait venir et me prendre par le transplanage d’escorte.
-Peut pas l’faire, dit Hestia laconiquement, Fol-Oeil t’expliquera.
Harry Potter et les Reliques de la Mort
3
Harry Potter et les Reliques de la Mort
Les Dursleys, qui avait tout écouté avec des regards d'incompréhension totale sur leurs visages, sursautèrent lorsqu’il qu’une voix sonore s’écria, " dépêchezvous
! " Harry regarda tout autour de la pièce avant de réaliser que la voix provenait de la montre de la poche de Dedalus.
- Tout est bien, on est dans un programme très serré, dit Dedalus inclinant la tête vers sa montre et la remettant de nouveau dans son manteau. " Nous essayons de synchroniser ton départ de la maison avec la disparition de ta famille, par conséquent Harry lorsque le charme se rompra, tu sera en sûreté. Il se tourna vers les Dursleys, tout est emballé vous êtes prêts a y aller ?
Aucun d’eux ne lui répondît. Oncle Vernon regardait toujours fixement le renflement de la poche de Dedalus.
- Peut-être devrions-nous attendre dehors dans le hall, Dedalus, murmura Hestia. Elle avait clairement sentit qu’il serait dépourvu de tact qu’ils restent dans la pièce pendant qu’Harry et les Dursley échangeraient leur amour et leurs adieux déchirant.
- C’est pas la peine, murmura Harry, mais oncle Vernon rendu toute autre explication inutile en s’exclamant,
- bien, c'est au revoir mon garçon.
Il leva son bras droit pour serrer la main de Harry, mais au dernier moment sembla incapable de lui faire face, et ferma simplement son poing et qu’il commença a balancer d’avant en arrière comme un métronome.
- Prêt, Diddy ? demanda Petunia, vérifiant de manière confuse l'agrafe de son sac à main afin d'éviter d’avoir à regarder Harry.
Dudley ne répondit pas mais se tint là, sa bouche légèrement entrebâillée, rappelant à Harry le géant, Graup.
- Allez maintenant, dit oncle Vernon.
Il avait déjà atteint la porte de la salle de séjour quand Dudley marmonna,
- je ne comprends pas.
- Qu’est ce que tu ne comprends pas, Popkin ? demanda Pétunia levant les yeux vers son fils.
Dudley souleva une grande main, telle un jambon pour se diriger vers Harry.
- Pourquoi ne vient-il pas avec nous ?
Oncle Vernon et tante Pétunia se figent sur place regardants fixement Dudley comme s'il venait juste d’exprimé le désir de devenir une ballerine.
- Quoi ? dit Vernon d’un ton fort.
- Pourquoi ne vient-il pas aussi ? demanda Dudley.
- Bien, - il ne le veut pas, dit oncle Vernon, jetant à Harry un regards menaçant et ajouta, tu ne le veux pas n’est-ce pas ?
- Pas le moins du monde, dit Harry.
- Voilà, dit oncle Vernon à Dudley. Maintenant nous sommes parti.
Il sortit de la pièce. Ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, mais Dudley ne bougea pas d’un pouce et après quelque pas hésitants Pétunia s’arrêta aussi.